On a trouvé l'hospitalité chez 20 minutes.fr.
Retrouvez-nous la-bas.
Bon, je ne recommencerai pas, j'avais posté un super article sur le match pourri qu'il nous a été donné à voir, je l'ai posté mais y'a eu un blême in ze système informatique du rugby blog et du coup il est perdu !
Snif, trop long à reécrire pourtant il était bien ...
En synthétisant ça donne ça ...
Jeu de main, jeu d'argentin ... trois quarts à l'ouest, bloqués par je ne sais quoi, Traille à l'arrêt, Jauzion et Fritz et Heymans transparents, objectif fixé par Lapasser atteint, trouille de perdre et trouille de passer soirée des vaincus avec Patrick Sébastien en maître de cérémonie et Lapasset en pom pom girl, au flunch de St Ouen, seul Vermeulen malgré tois énormes matchs dépasse, heureusement qu'il y a Domi.
Victoire " à la française ", c'est à dire qu'on croit gagner à l'aise et qu'on gagne petitement, d'un point, à l'arrache ...
Bref je synthétise mais c'est asssez inquiétant tout ça ... O attaque construite en trois matchs.
Mes très chers frères, mes très chéres soeurs.
C'est avec une émotion non feinte que je m'adresse à vous, en ce Dimanche pluvieux de Novembre, à l'aune de la fête des morts, des matins gris et des journées de plus en plus courtes, car j'ai lu ce matin dans la presse entre deux tartines mielées que le petit nicolas avec un petit n, si si vous savez celui qui est définitivement trop démago pour devenir un jour président de la raie publique, attendait que Bernard Laporte lui manifeste ouvertement son soutien parce que, je cite nico " le moment approche ou il va falloir choisir, Bernard".
Hum, je tousse un peu et comme dirait un ami fraichement marié " ça pique".
Non, non ce blog n'est pas politique mais juste polémique et je dois dire qu'aujourd'hui j'accepterai très mal de voir le patron de l'équipe de France s'afficher ouvertement comme un partisan du demi-sel nicolas, en tout cas justement si c'est le patron de l'équipe de France qui intéresse mini-cosy.
Pourquoi pas tant qu'on y'est, faire jouer les bleus avec un brassard UMP et organiser à Clairefontaine, des garden parties délirantes et délicieusement décadentes avec ce qui se fait de mieux en branchitude, j'ai nommé Johnny, Doc Gynéco, Pascal Sevran et Christian Clavier pour les plus connus.
J'ai toujours cru que Bernard était plus proche de Max et de Bertrand que du plus petit candidat qu'on ai jamais eu.
En tout cas, s'il s'engage, qu'il le fasse à titre privé et qu'au moment de son engagement éventuel, il le précise bien.
Ne mélangeons pas le beau jeu ( sauf l'Usap-Wasp d'hier durant lequel je me suis endormi ) et la politique, le rugby n'est ni de droite ni de gauche, juste de terrain.
Comment qu'on fait pour suivre une journée de championnat sans Anal+ ? Il nous reste le match en direct de lequipe.fr.
Ce soir, il n'y qu'un match, mais c'est du bonheur. Paris est enfin allé perdre ses nerfs, et on regrette quand même la télé, rien que pour le rouge de Martin.
Quant à Montauban, on a ri au début. Maintenant ils sont provisoirement 2ème, et il faudrait pas que ça tourne mal, cette histoire. Tant qu'ils prennent la place de Bourgoin ou Perpignan, perpétuels inutiles en demi-finale, on dira rien. Mais pour Toulouse, va falloir veiller à maintenir son rang, par exemple demain face à Narbonne. On peut même réellement parler du prototype parfait de match à ne pas perdre, voire à gagner avec le bonus, ou je me change de sport pour nimporte quoi.
Donc, on résume la dernière journée, histoire de sortir ce blog de la torpeur.
> Toulouse est allé prendre une branlée chez les bougnats. Une fessée à rougir la couenne du derrière. Les stadistes ont donné l'impression de jouer avec des chaussures en béton et des planches au bout des mains. Benoit Baby est nominé pour le titre de "brelouse du match", ayant montré un festival de chandelles à zéro métres, des coups de pieds de poney, et des courants d'air qui ont du lui chatouiller les sinus.
Le pire, c'est que cette équipe autrefois invincible (et qui a tout de même de beaux restes) ne semble même pas agacée d'être humilée, et nous habitue même à ce style de rentrons de plus en plus souvent. Rappelons pour l'anedote la défaite contre Bayonne à domicile l'an dernier, et une finale au score ressemblant à un All-Black/Roumanie.
> Perpignan s'est dévoué pour faire plus pathétique, avec dans la même semaine une vilaine défaite à Albi, et une somptueuse tannée sur sa propre pelouse contre Montauban, deux clubs qui l'an dernier jouaient contre le Racing Metro ou Oyonnax.
On vous l'avait bien dit : Montauban (5ème) ne sera pas là pour donner des points. Résultat : ils chatouillent mêmes le postérieur de Toulouse (3ème), et montrent leur cul aux catalans (6ème) encore tous étonnés de leur misère/
> Et pendant ce temps, à Bayonne... (ci-dessous, un berger basque se faisant royalement chier avec ses moutons)
Les points clés de ce début de championnat, ou comment y voir clair en 3 étapes.
#1 > Narbonne, Montpellier et Montauban. Voila les 3 hôtes-épouvantails de la saison. Un bon championnat compte toujours des équipes promises au ventre mou du classement, et ce tiercé de faux moyens devrait en faire perdre plus d'un lors du décompte final.
#2 > Le Stade Français fait toujours aussi peur. Que ce soit sur le terrain (où ça appuie toujours aussi grave), sur le banc (inépuisable), et dans la fantaisie vestimentaire (qu'il faudra bien un jour réglementer si on veut éviter de voir un jour une équipe avec une plume dans le cul).
#3 > Et ils sont ouuù ? A Bayonne, on a mis le jambon au frigo et les crampons à l'envers. Déboussolé par un stade de frère ennemi, la rugueuse équipe basque qui nous a tant fait chier l'an dernier serait t'elle en route vers la saison toulonnaise à trempes perpétuelles ? Quant à Castres, il paraît d'après une source bien informée qu'ils ont prévu de se réveiller vers la mi-mai.
Photo : Stade français
Bien que supporter des guerriers plus que des comédiens, je ne pouvais passer sous silence la performance inatendue de l'équipe de France de football arrivée en finale de coupe du monde alors que seuls quelques illuminés les voyaient péniblement aller plus loin que les quarts, suite à leur départ calamiteux.
Bien sûr, il s'agit de football sur un blog de rugby mais quand il s'agit des valeurs du sport, permettez moi quelques parallèles.
Moi le premier je n'y croyais pas, moi le premier j'ai tiré à boulets rouges sur ces millionnaires gâvés.
Avec le recul et c'est toujours intéressant, on peut comparer ce qui se disait il y a un mois et ce qui se dit maintenant, notamment de Zidane et du rôle de Domenech.
La lecture de certains journaux "non spécialistes" permet souvent des éclairages interéssants.
On voyait le premier fini, usé physiquement et mentalement et le second transparent, sans aucune influence sur les uns et les autres, isolé au milieux des diverses luttes d'influence que se livraient les anciens, les nouveaux, les pro et les antis, les réacs et les libéraux.
Zidane nous est apparu comme transfiguré contre l'Espagne et on commence à comprendre ce que voulait ou plutôt ce que ne voulait pas dire Domenech à l'occasion des ces interviews surréalistes ou on finissait à la fin par en savoir encore moins que ce qu'on croyait savoir au début.
Sa stratégie était complexe.
Les joueurs ont d'abord retrouvé la fierté et le gôut de jouer ensemble, peut être parce que nous avons tellement douté d'eux et les avons tellement critiqué qu'ils ont été enfin touché dans leur orgueil de stars et ont voulu nous faire mentir, peut être aussi parce que psychologiquement Domenech a super bien joué le coup et que son plan de consolidation du groupe, mûri depuis longtemps, a fonctionné.
Tout le monde n'y a vu que du feu ou à aperçu la vérité par intermitence.
En fait Zidane a toujours été la pièce maitresse du dispositif de Domenech mais Zidane n'était pas dans les bonnes conditions pour donner sa pleine mesure au sein de ce système.
Zidane a douté de ses capacités physiques ( c'est ce qu'il a dit à Dugarry, son pote ) et Zidane n'a pas compris ce que Domenech attendait de lui. Il se voyait finir sa carière au mondial plus qu'il ne se voyait remporter la coupe du monde.
Domenech aurait mis son veto à l'organisation d'un match jubilé en l'honneur de Zidane à la fin du championnat espagnol tout simplement parce que pour lui Zidane n'était pas encore à la retraite et qu'il pouvait encore beaucoup donner.
Domenech voit Zidane dans son dispositif au service du collectif, beaucoup, peut être Zidane lui même voyaient le collectif à son service. C'était aller dans le mur que de voir les choses comme ça.
Le collectif doit passer avant l'individu, en sport comme dans la vie.
Quand Zidane a été sorti par Domenech, suite à son carton jaune, à 2 ou 3 minutes de la fin du match, quelle genre de signe Domenech veut il adresser à Zidane, au collectif ?
Tout simplement qu'il n'a pas été bon, qu'il a pêté les plombs et qu'il n'a plus sa place dans le collectif à l'heure de conclure. D'aucuns ont cherché midi à quatorze heure à ce moment là.
Cela ne vous rappelle rien sinon ce carton rouge encaissé en 1998 ?
Carton qui avait été, à mon sens, à l'origine de l'énorme montée en puissance de Zidane qui devint irrésistible
Parait il que Deschamps et Jacquet lui avait passé un mémorable savon à cette époque là.
Zidane n'est bien qu'au sein d'un collectif, il ne veut pas avoir la tête qui dépasse sinon il est mal à l'aise, ce n'est pas un pantin à l'image d'un Beckham, ni un communicateur à l'image d'un Deschamps, il a besoin qu'on lui ramène la tête vers le concret et le terrain car c'est un homme de terrain plus que de communication.
Domenech a très bien joué le coup en faisant jouer la fierté et la psychlogie, ce n'est pas un idiot et il savait très bien le parti que l'équipe de France pourrait tirer d'un Zidane décomplexé parce qu'utilisé pour ce qu'il sait faire, donner le ballon et faire jouer l'autre quand il n'est pas lui même en position de conclure.
Bravo à Domenech et bravo à tous ces joueurs quel que soit le résultat de demain, le coup de pied aux couilles de la nation aura été salutaire ainsi que les non-dits du "coach", j'aime à penser cela.
Petit bémol pour terminer concernant les supporters que je trouve en général plus interéssés par le sport en tant que défouloir que par la fête elle même. Point de partage dans ces cohortes de supporters pinturlurés klaxonnants sinon du bruit et beaucoup de stupidité.
Comment faire des raisonnements sur un match qu'on a pas vu ? Que dire alors qu'on ne sait pas ?
Vous me direz que pleins de gens ( et des qu'on connait ) sont spécialistes de ce tour de force, alors pourquoi pas moi ?
Bon j'ai pas vu le stade de Paris contre le stade de Toulouse par la faute d'un ami sur-équipé qui n'était pas équipé d'un divx vierge ce soir là.
Je viens donc à regret de prendre connaissance du score fleuve de cette deuxième demie-finale et je n'ai à mon avis rien raté si ce n'est " un bel engagement physique" selon un fidèle du stade toulousain, reporter dans les toilettes catalanes à ses heures perdues.
L'essentiel est que les guerriers roses parisiens n'aient plus qu'à se consacrer à leur futur calendrier.
En revanche j'ai vu BO/USAP et suis resté sur ma faim.
J'avais un petit faible pour les catalans, sans plus. J'aurai aimé voir leur engagement physique à la limite de la limite récompensé mais les deux ou 3 en avant du début de match ont pesé lourd face à cette défense cadenassée.
C'est sur les biarrots ne font pas rêver, loin s'en faut, ils ne jouent pas et c'est pas nouveau mais bravo à eux d'avoir su relever la tête après leur finale européenne perdue, il aura suffit d'un drop du remplacant Dupuy pour que le sort de la partie soit scéllé.
Dommage que les catalans n'aient commencé à jouer que 10 minutes avant la fin.
Pour la finale que je compte voir en direct live à la capitale, j'espère du champagne, des putes borgnes, des essais et un final à au moins 6 h du mat.
Des envolées que diable ! Le rugby façon "catenacio" ça fait chier tout le monde.
Personne ne l'avait encore publié, personne ne l'a annoncé, même pas le sponsor en question, mais nous si. C'est une exclusivité prophétique de Rugby Pro & Prophéties : Vediorbis est le dernier partenaire en date du club des chanceux qu'il va falloir harceler pour les bonnes places en loges.
S'ils nous avaient consulté avant, ils auraient su que pour beaucoup moins cher ils pouvaient devenir partenaires exclusifs de ce blog (voir en haut à droite).
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La fin du championnat approche et comme chaque année nous allons retrouver dans le dernier carré les mêmes protagonistes qu'il y'a deux ou trois saisons; à savoir Toulouse, Paris, Perpignan, Biarritz et les méritants Berjalliens.
Pas de quoi sauter au plafond niveau affiches, c'est toujours les mêmes, on les a déjà vu qui en championnat , qui en H.Cup, qui dans mon cul.
On fait confiance aux mêmes pour arriver au bout, par exemple Toulouse qui n'a rien gagné depuis des lustres ( presque aussi peu que le CO ) et qui à mon avis devrait arriver en finale face à Perpi ou Paris.
Toulouse devrait même gagner si le BO gagne la coupe d'Europe en fatiguant un peu son gros paquet ( Sylvain se reconnaîtra ).
J'ai du respect pour les autre équipes mais dans le dernier carré, on retrouve peu de gognols en rouge et jaune car l'intelligence entre en jeu.
Bref, les équipes qui jouent la continuité plus que l'incontinence ont de l'avenir et ce n'est pas surprenant dans un sport ou les automatismes, la camaraderie et le goût du sacrifice pour le collectif restent prépondérants.
Les budgets ne sont pas la clé de tout, les déroutes du CO ou de l'ASM sont là pour nous le rappeler. Certes Guy Novès ne ferait pas grand chose avec l'effectif de Toulon, mais le travail dans la continuité paie en général.
Voilà, tout est joué ou presque mais je reste assidu.
En tout cas, prions mes frères pour qu'un jour 80001 policiers n'encadrent pas les 80000 spectateurs du stade de France.
Ce jour là j'arrête les amphets et la muscu.
Il n'était pas trop fier sur son banc le père Novés, vendredi soir avant le match contre Castres (voir la photo de notre envoyé spécial). Comme son équipe, l'entraineur déja légendaire des Rouges et Noirs se faisait tout petit sur son banc de touche. Heureusement pour les Toulousains, 80 minutes plus tard Guy avait de nouveau le sourire, enfin, à sa façon! Toulouse a profité de ce dernier week-end d'avril pour faire le point et taire les critiques. Aprés un début de printemps morose le Stade retrouve son rugby et en quelques accélérations rassure son monde. A l'image d'un Poitrenaud revenu au meilleur niveau, Toulouse a faim et ses prochains adversaires ont du souçis à se faire (décidément ces pauvres Auvergnats n'ont pas de chance!). A trois journées de la fin, on connait quasiment les 4 demi-finalistes et sauf énoooorme surprise Perpignan remplacera Bourgoin dans le dernier carré, tandis que les 3 autres gros reprendront une demi .
C'est le scoop de ce week-end.
L'émotion est à son comble à Toulouse.
Déçu par la performance de son équipe en coupe d'Europe, Guy Novès, entraîneur mythique du Stade Toulousain nous a fait part il y a quelques minutes et en exclusivité de son futur départ.
Son interview est en cours de téléchargement et sera bientôt audible.
Il doit laisser les rennes de l'équipe fanion dans les prochains jours à Christian Gajan, rappelé en urgence de sa retraite japonaise où ses conseils aux sumotori bridés font mouche depuis plus d'un an.
Serge Laïrle prendrait en charge l'organisation de la bourriche et Philippe Rougé-Thomas celle de la buvette.
L'entrainement des trois-quarts serait assuré par un revenant, Claude Portolan.
Guy Novès nous confiait il y a peu vouloir s'occuper désormais de la destinée d'un club de "gars qui n'en veulent" et motivés par un désir puissant de retrouver l'élite, quittée par le club un triste Samedi de 1937.
D'après nos sources, d'après nos taupes, il rejoindrait Mauricio Reggiardo et Ugo Mola au sporting club mazamétain, le mythique SCM.
Une page se tourne dans l'histoire du rugby.
Il y a assurément plus d’activité dans les poings de Michel Konieck que dans sa tronche. Il est dangereux pour ses adversaires et ses coéquipiers. Dévisser à l’épaule la tête de Benjamin Boyet à 5 mètres de la ligne d’en but des Catalans, c’est un geste sale et con. Sale pour l’ouvreur berjallien, con pour les siens réduits à défendre à 14 sur leur ligne trois petits points d’avance à trois minutes de la fin. Avoir le culot de ne pas comprendre le pourquoi du comment de la biscotte très light (le rouge n’aurait pas été choquant) dont il écope ne lui fait pas non plus honneur.
N’étant pas dotée du câble, CSBJ-USAP est le seul match de rugby qu’il m’aura été donnée de voir ce week-end. Sans être grandiose, son enjeu au coup d’envoi et l’évolution du score le rendaient intense et prenant. Dommage que quelqu’un ait posé un étron dans la vitrine.
Il paraît que ce monsieur est une icône du rugby perpignanais, au nom de je ne sais trop quels services rendus et d’un passé brillant. Il est temps de raccrocher l’icône au mur ou de la renvoyer dans ses pénates… à Jurassic Park.
Tout auréolé de son statut de capitaine victorieux du Tournoi, Fabien Pelous a retrouvé les joies du Top 14 avec au programme un bon vieux derby de la Garonne: Toulouse-Agen(19 à 7). Désireux de remonter dans l'estime du Public et de marquer les esprits, "le menton" nous a gratifié d'un "rucking appuyé", ou "coup de godasse" sur un agenais au sol. Le débat entre Anciens et Modernes est ouvert.
Grâce à ce joli geste, Pelous a pu goûter les premiers pruneaux d' Agen du Printemps.Et compter les noyaux pendant 10 minutes sur le bord de touche....